Le pourquoi du comment…

Ça fait trois ans que l’idée de bloguer mes pérégrinations ludiques me trotte dans la tête.

Si j’avais reçu une brique à chaque fois que j’ai résumé toutes les ‘bonnes’ raisons de m’abstenir, je ne pourrais peut-être pas bâtir ma propre pyramide (rapport au fait de creuser sa propre tombe, CQFD) – faut quand même pas charrier… – mais je n’en serais plus très loin.

Déjà, le manque de temps. Rigolez pas, c’est chronophage ces petites bêtes, tout le monde le sait. Du temps passé à écrire ici, c’est du temps que je ne passe pas en jeu ! Nanmého !

Ensuite, le manque de contenu réel. Franchement, je n’ai strictement rien de vraiment constructif à dire… En tous cas rien qui mérite d’être rédigé puis lu. Quant à mes anecdotes in game, la plupart sont trop ‘private joke’ pour rester compréhensibles une fois sorties de leur contexte.

Et pour finir, un blog, ça fait quand même vachement kikoulolilol. Et je ne suis pas kikoulolilol. Je n’aime pas les kikoulolilol. Ils me sortent par les naseaux, les kikoulolilol.

Là, vous êtes en train de vous dire : ‘Alors pourquoi tu fermes pas ta boîte à camembert (rapport à l’haleine, CQFD) et tu nous fous pas la paix, avec ton blog de ***** ?!’

Beeennn…

Parce que j’ai envie d’essayer. Là. C’est dit.

Parce que la plupart des gens qui entretiennent un blog n’ont pas plus de choses intéressantes à dire que moi.

Parce que si tout le monde restait planqué derrière ses ‘bonnes’ raisons, personne ne ferait jamais rien.

Parce que je peux le faire sans devenir kikoulolilol pour autant.

Alors, autant essayer et voir ce que ça donnera. En supposant que ça donne quelque chose.

Vous l’avez maintenant compris : ce blog ne sert à rien. Mais vraiment à rien. Si vous espérez trouver ici des infos utiles, vous faites fausse route. Perdez pas votre temps et allez plutôt bouquiner Wikipédia. Ou le site officiel d’Aion.

Ce blog n’existe que dans le but de partager les délires épileptiques de mon esprit cinglé. Eventuellement quelques larmes de fou rire au fur et à mesure de mes tribulations en Atréia. Et peut-être même quelques textes RP, aussi

Vous n’avez pas le droit de jeter des pierres à Utarius sans qui – même s’il l’ignore, nyark… – ce bidule n’aurait jamais vu le jour. Y’a que moi qui ai le droit de lui jeter des pierres. Nanmého. C’est MON héros. Si vous en voulez un à vous, allez vous en chercher un autre.

Quant au reste… Qui vivra verra.

Sha-sha